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Revue d'Histoire de Monaco

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5 résultats

Résultats pour Inès IGIER-PASSET

Article du Numéro 30 - 2006 - JEAN GRIMALDI, DIX-HUIT ANS, PORTE-PAROLE DE SON PÈRE LAMBERT AUPRÈS DU ROI CHARLES VIII. MAI 1486

Inès IGIER-PASSET

À l’occasion de son mariage avec Antoinette de Savoie, Jean Grimaldi, qui se rend à la Cour de France pour la rencontrer, est sollicité par son père pour mener à bien certaines requêtes, au demeurant fort délicates pour un jeune homme de 18 ans. Cet article est prétexte à se replonger dans l’univers médiéval, où la seigneurie de Monaco doit lutter contre son voisin savoyard et d’autres seigneuries qui lui disputent son territoire.

Article du Numéro 29 - 2005 - FÉVRIER 1338 : CHARLES GRIMALDI S'ENGAGE AU SERVICE DU ROI DE FRANCE

Inès IGIER-PASSET

Charles Grimaldi est le fils de Rainier, amiral de France, qui a remporté pour ce pays la prestigieuse victoire de Zierikzee. Jusqu’en 1341, Charles continue l’engagement de son père en se battant aux côtés du roi de France Philippe VI. De ses combats, il retire gloire mais surtout subsides, qui lui permettent d’entreprendre de notables travaux de fortifications autour de son Rocher monégasque.

Article du Numéro 40 - 2016 - POUVOIR ET GENS DE GUERRE À LA FIN DU MOYEN ÂGE. CHARLES GRIMALDI AU SERVICE DES ANJOU ET DES ROIS DE FRANCE

Inès IGIER-PASSET

Jusque dans la première moitié du XIVe siècle, les rois et princes territoriaux, pour mener leurs guerres de la façon la plus sûre, recoururent encore largement aux obligations militaires, se tournant notamment vers la classe chevaleresque. Mais en cette fin de Moyen Âge, la participation des guerriers ainsi recrutés fut de plus en plus obtenue moyennant contrepartie pécuniaire, versements de gages et récompenses en nature. Tel fut le cas de Charles Grimaldi qui, durant de longues années, servit la monarchie française et la dynastie angevine, engagement qui lui permit d’asseoir sa notoriété politique et sa puissance financière.

Article du Numéro 31 - 2007 - IL Y A 500 ANS, LE SIÈGE DE MONACO : UNE INDÉPENDANCE HEUREUSEMENT PRÉSERVÉE

Inès IGIER-PASSET

Les rapports entretenus par la seigneurie de Monaco et de la République de Gênes sont à géométrie variable, puisque l’indépendance de la première passe par l’acceptation forcée de la seconde. Le siège de la ville de Monaco en 1506-1507 en est un des épisodes, que l’auteur nous raconte par le menu en dépeignant le contexte politique, régional et international, de l’époque.

Article du Numéro 43 - 2019 - Temps et contretemps de la politique extérieure de Jean Ier Grimaldi. 1451, le futur Louis XI achète Monaco pour 12 000 écus d’or

Inès IGIER-PASSET

Jean Ier Grimaldi, seigneur de Monaco de 1427 à 1454, eut à lutter durant toutes ces années contre les visées expansionnistes de ses grands voisins – à savoir la République de Gênes – les duchés de Savoie et de Milan, désireux de s’emparer de cette place-forte stratégique entre Provence et Italie. Malgré la détermination dont il fit preuve pour préserver l’indépendance de son Rocher, Jean finit par vendre, au printemps 1451, sa seigneurie au dauphin du trône de France, le futur Louis XI, ne conservant que le gouvernement de la place au nom de ce dernier. Ainsi, fait totalement méconnu, jusqu’au décès de Jean et au début du règne de son fils Catalan, la bannière delphinale flotta pendant trois ans sur les tours des deux châteaux de Monaco. Finalement, la place resta aux mains des Grimaldi, le dauphin n’ayant nullement exécuté les clauses de l’acte de vente et ayant abandonné ses projets de politique italienne.

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