Annales monégasques

Résumé

Ce numéro, qui vient célébrer le cinquantième anniversaire du règne du prince Rainier III en 1999, se concentre exclusivement sur ces cinq décennies d’action politique, en publiant une très riche iconographie.

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Ce numéro est particulièrement hétéroclite, autant par les thèmes abordés (architecture, musique, littérature, politique) que par le spectre chronologique (du XVIIe au XXe siècle). La rubrique « document d’archive » est consacrée à un des événements les plus importants de l’histoire de Monaco : le traité de Péronne, qui a lié la principauté à la France pendant 152 ans, et qui est ici retranscrit dans son intégralité.

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Ce volume évoque, par un article, un thème d’importance, la découverte de l’allergie lors de la campagne du prince Albert Ier de 1901. Une seconde étude se situe chronologiquement à l’opposé, puisqu’elle s’attarde sur le rôle de l’albergue dans la fondation de la dynastie des Grimaldi de Monaco. Mais entre ces deux extrêmes, les autres thèmes sont propres aux XVIIe et XVIIIe, touchant à des sujets aussi variés que la monnaie, l’art, et la politique.

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Ce numéro a des accents majoritairement modernistes. Le document d’archive met à l’honneur la carte de 1602, et un troisième et dernier article est consacré au Giornale du curé Pacchiero. Le XVIIIe siècle est représenté par le prince Antoine Ier et deux aspects de son œuvre (la création d’un chemin) et de sa personnalité (les poésies qu’il a signé). Toutefois, deux autres études, l’une consacrée à René Blum, directeur de l’opéra de Monte-Carlo aux XIXe et XXe, et l’autre à sept poètes monégasques du XXe, permettent d’aborder la période contemporaine. Enfin, un article plus généraliste précède l’actualité en revenant à l’origine de la dynastie des Grimaldi, bientôt sept fois séculaire.

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Ce numéro fait suite au précédent en publiant la deuxième partie de la traduction du Giornale, de Don Pacchiero ainsi qu’une suite à l’histoire hospitalière de Monaco. La Révolution française est une nouvelle fois mise en avant, à travers le prince Honoré III. Le numéro fait le bilan de l’action de Charles III en terme touristique et fait le point sur l’engagement du prince Albert Ier dans l’affaire Dreyfus.

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Le Giornale de Don Pacchiero est une source très importante pour l’histoire du siècle d’Honoré II. Ce document est trop volumineux pour figurer intégralement ici. Ce numéro présente donc la première partie d’une traduction commentée. Pour compléter les connaissances que nous avons sur ce même XVIIe siècle, on s’attarde également sur l’usage de la monnaie par Honoré II. Après François-Joseph et Jean-Baptiste dans de précédents numéros, c’est Astyanax-Scevola Bosio, sculpteur, qui fait à son tour l’objet d’une étude. L’histoire sanitaire a également sa place. Enfin, un regard nostalgique sur le rocher, celui d’Émile Novella, est publié.

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Louis Bréa, artiste régional fameux, a exécuté plusieurs œuvres importantes qui sont conservées à Monaco. Celles-ci méritaient une étude, laquelle est richement illustrée. L’art est également une composante importante de l’aménagement de l’Hôtel de Matignon, dont le propriétaire, Jacques de Goyon-Matignon, a participé à une expédition militaire contre l’Espagne dont il traite dans une correspondance exploitée ici. On s’attarde également sur le personnage de Rufus Massa durant la Révolution, ainsi que sur les opérations strictement militaires à Monaco et alentour pendant la Seconde Guerre mondiale.

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Ce numéro offre un éventail d’articles à la temporalité ininterrompue. On s’intéresse au ballet de cour à Monaco au milieu du XVIIe siècle. On évoque ensuite Menton, à l’époque de Louis Ier et d’Antoine Ier. L’histoire des Pénitents noirs amène jusqu’aux troubles révolutionnaires. L’empire transforme le Palais en dépôt de mendicité, mais à sa chute, un protectorat sarde se met en place. Le siècle suivant, c’est la relation d’une femme de lettres avec Monaco, qui achève ce tour d’horizon.

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Population et société monégasques sont de nouveau analysées à travers un article très vaste, s’appuyant sur un document original et unique. L’épaisseur spirituelle de cette même société est illustrée par l’exemple de la confrérie des Pénitents Blancs dans une autre étude. La princesse Marie de Lorraine permet également d’élargir encore notre vision de cette époque, tandis que, pour le XIXe siècle, on retrouve les personnages de Nietzche et de Wagner et l’opéra de Monte-Carlo.

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Deux études importantes sont publiées dans ce numéro. D’une part, la peste à Monaco, et notamment l’épisode de 1631, et d’autre part les voyages du prince Albert Ier en Afrique. Les arts ont toujours une place de choix, avec la publication d’une correspondance musicale et les débuts du cinématographe. Thématique vaste, les fortifications contemporaines dans la région font l’objet d’une étude.

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Ce numéro se consacre largement à l’histoire contemporaine. La période de la Révolution et de la chute de l’Empire font l’objet de deux articles. Concernant une époque plus récente, la revue décrit le passage de Maupassant en Principauté en 1887 et la publication des quelques pages fantaisistes au sujet de ce pays. Deux ans plus tard, Monaco participe à l’exposition universelle de 1889 qui présente les travaux du prince Albert Ier. La carrière militaire du prince Louis II achève ce tour d’horizon contemporain. Le « document d’archives » présente un manuscrit du XIXe au sujet de la fête de Sainte-Dévote.

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Deux articles mettent en lumière une anecdote liée à l’histoire du Palais : la mort du Duc d’York, frère du roi George III d’Angleterre, à Monaco en 1767. Tandis que le parcours, le décès et les funérailles du Duc d’York font l’objet d’une première étude, un autre article présente la visite en Angleterre du prince Honoré III à la suite de cet épisode tragique. La thématique patrimoniale est présente grâce à des travaux sur le Palais de Carnolès et sur les anciennes orgues de l’église Saint-Nicolas. Le numéro revient également sur la Contre-révolution dans la région, ainsi que sur le parcours exceptionnel de Raoul Gunsbourg, directeur du théâtre de Monte-Carlo pendant six décennies.